Biologie Moléculaire :
Chapitre 2 : les Biotechnologies
Partie 2 : Marquage des acides nucléiques.
Le marquage le plus simple est le marquage radioactif. On peut réaliser celui-ci avec différents isotopes.
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- L’isotope le plus classique est le 32P, d’une demi-vie de 14 jours et E=1,7 MeV (très forte sensibilité).
- Le 35S : sa demi-vie est de 90 jours et E=0,17 Mev. Il est moins sensible mais plus précis que le 32P.
- Le 3H, sa demi-vie est de 12 ans et E=0,02 Mev.
Exemple avec hybridation sur chromosome.
Pour placer un 35S, on l’insère à la place d’un O.
Pour les marquages froids, on rajoutera des morceaux que l’on peut colorer. Pour les marquages radioactifs, on peut partir de nucléotides triphosphates marqués.
Translation de coupure ou Nick translation.
Le phosphate doit être marqué en a car les phosphates b et g seront sortis pendant la synthèse.
Les deux brins seront marqués.
Technique de Random Priming (amorçage au hasard).
On part d’ADN double brin en forte concentration.
Marquage d’ADN double brin grâce à la RNA polymérase.
Dans le cas de deux promoteurs différents sur le même génome, on a les résultats suivants :
Pour la transcription, le promoteur donne le sens de transcription et le brin transcrit.
On peut marquer un acide nucléique en lui ajoutant un phosphore marqué radioactivement sur une extrémité.
On fait d’abord agir une phosphatase pour enlever le phosphore non marqué.
On fait en suite agir une kinase avec de l’ATP marqué en g. Le marquage se fera en 5’.
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- Aller à la partie 2 (Marquage des acides nucléiques)
- Aller à la partie 3 (Les outils du génie génétique)
- Aller à la partie 4 (Séquençage des acides nucléiques)
- Aller à la partie 5 (Mutagenèse dirigée)
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